OVH en mieux, c’est possible !
Cher·e collègue, il faut qu’on parle !
Il est un peu tard pour parler Rugby, un peu tôt pour parler JO, alors parlons… élections du CSE d’OVH !
Présentons-nous : nous sommes la liste Solidaires Informatique, un syndicat anticapitaliste, féministe, internationaliste, antifasciste, écologiste, antivalidiste et libriste. Nous espérons te convaincre de voter pour notre liste durant les élections.
Jusqu’à maintenant, OVH a bien vécu sans syndicats, à quoi bon cette candidature ?
Nous pensons qu’OVH est à un stade de sa vie où une liste syndicale est nécessaire. Entrée en bourse, généralisation du télétravail après la période COVID, rachat et intégration de sociétés, changement de convention collective : ces changements, et d’autres, nécessitent de faire entendre la voix des salarié·es face à la direction.
Nous avons formé une section syndicale en avril dernier et nous avons immédiatement lancé des actions pour défendre les salarié·es, individuellement et collectivement :
- Nous avons contesté l’imposition injuste et injustifiée des congés a b et aidé les salariés affectés par ces mesures et souhaitant les contester ;
- Nous avons mis en lumière la pratique opaque du « plan d’accompagnement personnalisé » qui, sous couvert d’accompagner des collègues en difficulté dans le “retour à la performance”, s’accompagne régulièrement de pressions psychologiques et se solde par des départs ;
- Nous avons défendu le droit à l’image de salarié·es dont les photos avaient été publiées sans consentement préalable ;
C’était une bonne beta de six mois, mais il est grand temps de passer en prod ! Le CSE est une instance clef dans la représentation des salarié·es et il dispose de prérogatives étendues ; En portant nos représentants au CSE, nous aurons les moyens nécessaires pour faire face à la direction pour récupérer nos droits et en gagner des nouveaux ! Nous allons réclamer plus de transparence dans les pratiques de l’entreprise, les congés, le télétravail, afin de rétablir la confiance entre les salariés et la direction.
Nous souhaitons poursuivre les œuvres sociales du CSE, tous les avantages pour les salarié·es, qui comptent pour nous et nos familles.
D’autre part, il est impératif que nous récupérions de la flexibilité dans notre travail et cela passe par l’arrêt des périodes de congés forcées, ainsi que l’adoption de nouveaux modes de travail comme la semaine de 4 jours ou étendre le télétravail.
Alors, cher·e collègue, convaincu·e ? Ras le bol de gueuler sur Peakon et que rien ne change ? Après les élections, ça va déchirer !